id. CIK : K. 969

 

 

Charuek Nai Prathet Thai (abréviation : CNPT)

 

Tome :

Pages : 

Nom dans CNPT :

1

40-43

Charuek Chong Sa Chaeng [ce nom indique qu’il s’agit d’un lieu avec un bassin (sa = sra.h)]

1. Caractères (akson) :

Pallava

2. Langue(s) (phasa) :

Sanskrit

3. Date (ère bouddhique = sakarat) :

12e siècle EB

4. Composition (faces, lignes = charuek akson) :

1 côté avec 4 lignes d’inscription

5. Support (watthu charuek) :

Pierre, grès gris

6. État, aspect, conservation (laksana watthu) :

Semblable à une « feuille de sema »

7. Dimensions (khanat watthu) :

Largeur 56cm, hauteur 92 cm, épaisseur 20 cm

8. N° inventaire de l’objet (banchi/thabienwatthu) :

PCh 5

K. 969 (Inscriptions du Cambodge)

9. Date de sa découverte (phop muea) :

inconnue

10. Lieu de sa découverte (sathan thi phop) :

Ban Chong Sa Chaeng, tambon Ta Phraya, amphoe Ta Phraya, changwat Prachin Buri

11. Personne ayant fait la découverte (phu phop) :

Inconnue

12. Lieu de dépôt actuel (patchuban yu thi) :

Musée national, Bangkok

13. Publications (phim phoey phrae) :

SJ, 12-1, mai 2511 (1968)

Silapawatthanatham (Art et Culture) 5e année, tome 9, juillet 2527 (1984)

Inscriptions du Cambodge, vol. 7

14. Historique (prawat) :

Cette inscription a eté publiée pour la première fois dans le SJ, 12e année, volume 1, mai 2511 (1968) sous le titre « Lecture d’une inscription en caractères du sud de l’Inde en sanskrit ». M. Prasat Bunprakhrong en avait fait la lecture et le professeur (et lieutenant de police) Saeng Monwithun la traduction. Sa deuxième publication se trouve dans la revue Silapawatthanatham (Art et Culture) 5e année, tome 9, juillet 2527 (1984) sous le titre « Rapport sur l’inscription de Ban Chong Sa Chaeng » lue et traduite par M. Chusak Thipkeson. En plus, le professeur G. Cœdès l’avait  publiée dans les Inscriptions du Cambodge, vol. 7. Afin que ce recueil des inscriptions en caractères pallava soit complet, on a rassemblé ici toutes ces lectures et traductions.

15. Lecteur/traducteur (an plae) :

M. Chusak Thipkeson lu et traduit

 

François Lagirarde, 21 septembre 2006